Dans un contexte d’incertitude économique persistante, le Private Equity ne cesse d’évoluer vers une approche plus proactive et stratégique. Cette transformation ne se limite plus aux seules considérations financières : elle repose désormais sur une approche opérationnelle approfondie.
L’industrie européenne traverse une période d’instabilité croissante. En 2025, elle se trouve confrontée à une concurrence chinoise toujours plus exacerbée, à des tensions géopolitiques croissantes entre grandes puissances et à une baisse des investissements industriels.
Dans un environnement économique marqué par l’instabilité, les entreprises ont l’opportunité de se réinventer et de redéfinir leur trajectoire. Avec un record de près de 68 000 défaillances d’entreprises en 2024 et une croissance moyenne estimée à 0,9 % pour 2025, les pressions s’intensifient.
Les participations de fonds d’investissement sont, comme toute entreprise, confrontées à des défis de management. Rythme de croissance accéléré, exigences de performance élevées, enjeux de financement : le contexte du private equity présente toutefois des spécificités uniques qui rendent le recours au management de transition, à tous les niveaux C-Level, encore plus stratégique.
Maintenir ou retrouver une place au sein d’une organisation qui tend parfois à pousser vers la sortie : les débats actuels viennent rappeler que nombre de cadres de plus de 55 ans font face à des perspectives professionnelles limitées pour leur seconde partie de carrière.
Depuis 2016, la France crée plus d’usines qu’elle n’en ferme. Par ailleurs, en 2023, les ouvertures nettes de sites industriels ont progressé de 14 % par rapport à 2022.
À l’horizon de 2070, sous l’effet de la réforme des retraites, le taux d’activité des personnes se situant dans la tranche d’âge 55-69 ans devrait augmenter de 4,5 points. C’est dire à quelle intensité la collaboration intergénérationnelle au sein des entreprises est vouée à se développer.
En 2023, les nombre de défaillances d’entreprises a augmenté de près de 36 % par rapport à l’année 2022. De manière croissante, cette tendance concerne des organisations de toutes tailles. Décryptage avec Lionel Gouget, Partner Valtus.
Alors que 15 000 talents spécialistes de la cybersécurité manquent à l’appel, la France ambitionne de créer 37 000 emplois dans le secteur cyber d’ici 2025.
Alors que le marché de l’emploi cadre demeure particulièrement dynamique, certaines entreprises peinent à recruter et fidéliser.
Il y a quelques semaines, l’Assemblée nationale rejetait l’article 2 du projet de réforme des retraites, qui prévoyait la création d’un index senior. Cet index est-il suffisamment inclusif ?
Pour Jérôme Vercaemer, la réforme des retraites va transformer le regard porté sur les cadres de plus de 55 ans. Il livre son point de vue pour Les Echos.
À l’heure de la guerre des talents et dans un contexte fortement volatil, les organisations s’ouvrent pour capter les expertises dont elles ont besoin.
Depuis plus de 10 ans, le management de transition est en croissance de 10 à 20% par an. Et si la période du COVID a provoqué un ralentissement de cette dynamique, l’effet de rattrapage depuis l’été 2021 fut spectaculaire.
Si vous demandez à votre Conseil d’Administration quel est le risque le plus fort pour votre activité, en cette période d’incertitude généralisée, vous entendrez très probablement : « la cybersécurité » (risque en tête du baromètre 2022 d’AGCSi).
Avec la croissance fulgurante du e-commerce, les constructions d’entrepôts se multiplient. Les entreprises peuvent alors être en quête d’accompagnement pour tout ou partie de la durée de leur projet logistique.
La crise sanitaire Covid-19 et les évènements déclenchés récemment entre la Russie et l’Ukraine provoquent de graves perturbations dans les chaines d’approvisionnement mondiales.